la Shigellose est une maladie infectieuse, des maladies diarrhéiques causées par un groupe de bactéries appelées Shigella. Il est transmis par contact avec des aliments contaminés, de l’eau, des surfaces ou une personne infectée. La maladie se résout généralement en 5 à 7 jours. Shigella provoque environ 500 000 cas de diarrhée aux États-Unis chaque année.

Pourquoi l’étude de la Shigellose est-elle une priorité pour le NIAID?,

Les estimations du nombre de cas de shigellose varient, car de nombreux cas bénins ne sont souvent pas diagnostiqués ou signalés. Une étude sur les principaux agents pathogènes responsables de maladies d’origine alimentaire aux États-Unis, principalement de 2000 à 2008, a estimé qu’environ 131 000 épisodes d’infection d’origine alimentaire contractée par Shigella se produisaient chaque année, 20% de ces patients nécessitant une hospitalisation.

Comment Le NIAID Aborde-T-Il Ce Sujet Critique?

Le NIAID soutient la recherche fondamentale pour étudier les pathogènes bactériens qui causent la shigellose., Les chercheurs développent également des vaccins pour prévenir les infections à Shigella chez l’homme et des moyens de lutter contre les effets de la Shiga-toxine visant à protéger le public de cette maladie diarrhéique et à améliorer la santé publique en général.

Pour en savoir plus sur les facteurs de risque de shigellose et les stratégies de prévention et de traitement actuelles, visitez le site Shigella des Centers for Diseases Control and Prevention (CDC).,

Biologie& Génétique

Le NIAID soutient la recherche pour étudier comment les pathogènes bactériens (germes) causent la maladie lorsqu’ils infectent, colonisent, puis interagissent avec le corps de l’hôte humain. La recherche pourrait définir de nouvelles façons d’intervenir, que ce soit par la prévention ou le traitement, dans le processus de la maladie.

En savoir plus sur la biologie et la génétique de la shigellose

Vaccins

Des chercheurs développent des vaccins pour prévenir les infections à Shigella chez l’homme., Les scientifiques développent et testent également des anticorps monoclonaux pour lutter contre les effets de la Shiga-toxine. Ces études cliniques et d’autres visent à protéger le public contre cette maladie diarrhéique et à améliorer la santé publique en général.