Travaux ultérieurs
Keats a commencé à travailler sur Hyperion en septembre 1818. Une partie essentielle de son but était de décrire la croissance du dieu grec Apollon en un véritable poète par une acceptation et une compréhension toujours plus profondes du changement et du chagrin. Mais Keats n’a pas pu aller de l’avant pour un certain nombre de raisons, y compris la santé altérée, la réception négative d’Endymion par un critique influent et la mort de son frère, Tom.,
Au printemps 1819, Keats se tourne de nouveau vers le récit en vers. Il a d’abord produit l’opulente « Eve of St.Agnes » en répulsion délibérée (déplaisir extrême) contre ce qu’il considérait maintenant comme la sentimentalité « maussade » (sentimentale maladive) d’Isabelle. Il a été suivi par » La Belle Dame Sans Merci », un poème narratif simple qui raconte la séduction mystérieuse d’un chevalier médiéval par une autre des dames insaisissables, énigmatiques (mystérieuses), à moitié divines de Keats., Chaque poème incarne une tendance importante dans la poésie de Keats, un désir mêlé à la peur et à la méfiance (manque de confiance en soi) pour une expérience au-delà de la mortalité humaine.
Celles-ci furent suivies au printemps et à l’été de 1819 par la première de ses grandes odes: « Ode à Psyché », « Ode sur une Urne grecque » et « Ode à un Rossignol. »Ceux-ci, ainsi que l’ « Ode sur l’Indolence » et l ‘ « Ode sur la mélancolie », sont des explorations avec une imagination aiguë de la relation complexe (complexe) entre le chagrin et le bonheur, la vie et le rêve.,
Durant la seconde moitié de 1819, Keats écrivit son seul drame, Otho le Grand. Il a également fait sa dernière tentative de définir la fonction du poète dans La Chute d’Hypérion. Cependant, comme l’Hypérion précédent, il n’a jamais été achevé et reste un fragment alléchant (fascinant) de beauté cryptique (mystérieuse).